Moins d'une semaine après l'odieux attentats de Nice, le 21 juillet, François Hollande recevait le Palestinien Mahmoud Abbas à l'Élysée. (1)
Le contenu politique de cette entrevue n'avait vraiment rien d'inattendu. Le communiqué officiel mentionnait la "fragilité de la situation au Proche-Orient" et citait le rapport du Quartet sur les menaces de "la poursuite de la colonisation." Au passage, il passait sous le tapis, mais cela n'avait rien d'inattendu non plus, la mise en cause du coté palestinien, dans le même rapport, pour "incitation à la violence". François Hollande s'engageait enfin à poursuivre ses efforts entamés par la réunion du 3 juillet à Paris, démarche destinée en réalité à mobiliser l'opinion mondiale aux côtés des Palestiniens et à favoriser si possible l'isolement international d'Israël.
En guise d'illustration de leur alliance et de l'intimité de leurs rapports, l'Élysée publiait une photos des deux hommes dans les bras l'un de l'autre.
Ce qu'il y avait d'intensément répugnant dans cette étreinte, c'est que François Hollande préside aux destinées de la France, et que celle-ci venait d'être frappée à Nice selon des méthodes terroristes mises au point et appliquées à grande échelle par les "martyrs" palestiniens, dont Abbas et les siens organisent le culte et le financement.
Les 84 victimes du 14 juillet maudit de Nice n'étaient peut-être pas toutes été enterrées le 21 juillet. Plus d'une dizaine d'autres victimes étaient toujours entre la vie et la mort. Leur os avaient été brisés, leur articulations avaient été disloquées, leurs membres sectionnés, leurs chairs et leurs organes déchiquetés. Et le président de leur nation embrassait l'inspirateur et maître d'œuvre de la recette terroriste qui les avaient si douloureusement meurtris !
Mahmoud Abbas n'avait-il pas appelé à l'automne 2015 les futurs "martyrs" palestiniens à verser leur sang, ne leur avait-il pas promis les plus hautes récompenses d'Allah? Ces appels de l'ami de F. Hollande se traduisirent par 45 attaques au véhicule bélier en Israël, le terrain d'expérimentation de la tragédie de Nice. Les auteurs furent encensés par le noyau du pouvoir de Mahmoud Abbas, l'OLP-Fatah-Autorité palestinienne, en tant que héros la nation palestinienne et "martyrs", le grade le plus élevé de la hiérarchie des opérationnels terroristes.
D'ailleurs l'État islamique, qui a revendiqué la tuerie de Nice, ne s'y est pas trompé. Il a dit sa reconnaissance aux Palestiniens pour leur apport "technique". "Massacrer en utilisant comme bélier des voitures et des camions civils est une idée qui est née dans l'esprit des Palestiniens (Maqdisi); c'est une façon innovante d'améliorer les tactiques djihadistes," écrivait un responsable de Daech dans le réseau social Telegram. "Hier ils nous ont appris l'usage des ceintures explosives et de nombreuses techniques de combat urbain, et aujourd'hui, ils nous enseignent ce procédé." (2)
La chronique des attentats qui se répètent depuis les exploits de Mohamed Merah montre que les techniques terroristes palestiniennes expérimentées contre Israël sont progressivement transposées en France. L'assassinat de civils à la kalachnikov, l'attentat-suicide, l'attaque de jardins d'enfants... Et ces techniques se perfectionnent tous les jours. Ainsi les tueurs du récent attentat de Sarona (Tel Aviv, 3 juillet 2016) avaient-ils préparé des couteaux enduits de mort-aux-rats. Nul doute que cette nouvelle trouvaille palestinienne sera demain transposée en France.
Mahmoud Abbas qui a sanctifié le martyr des tueurs à la voiture bélier et ceux de Sarona, et grassement "indemnisé" leur famille avec des dollars en partie français, aura-t-il droit alors à une nouvelle étreinte présidentielle?
Notes
(2) voir ISIS Praises “Palestinian Tactic” of Truck Attack in Nice, TheTower.org Staff, 20 juillet 2016 http://www.thetower.org/3662-isis-praises-palestinian-tactic-of-truck-attack-in-nice/
Communiqué de France-Israël Marseille
Pour le bureau de France-Israël Marseille, 26 juillet 2016
Jean-Pierre Bensimon
Israël ne dispose pas des centaines de millions de dollars offerts par le Qatar aux dirigeants de l'UE et de certains pays comme la France. Disposer d'un compte à l'étranger régulièrement approvisionné est pour certains gros jouisseurs comme Hollande un cadeau qui ne se refuse pas. Etre entretenu comme une vieille maîtresse par l'argent des Français pour se payer un coiffeur chargé principalement des teintures de cheveux à hauteur de 9000 Euros par mois, une manucure/pédicure, un kinési, une maquilleuse, un coach pour ses discours, sans compter tout le reste (repas dans les restaurants les plus étoilés, voyages en avion présidentiel pour assister à des matchs de foot, palaces, invitations de parasites (médias, acteurs, chanteurs) aux dîners de l'Elysée consistant en foie gras, caviar et langoustes accompagnés des plus grands vins et champagnes prélevés dans les caves faisant partie du patrimoine français....Elle est pas belle la vie pour certains ? Mais, car il y a un "mais". En échange des largesses accordées par le Qatar, il faut endosser les habits de "valet" et suivre ses ordres en matière de politiques interne et externe, ce qui explique le choix de collabo avec l'islam et l'hostilité affichée envers Israël. Hollande et sa bande de guignols dont les marocaines Belkacem qui introduit l'apprentissage de l'arabe dans les classes de CP en France, la seconde marocaine, la El Konnerie qui veut laisser son nom (c'est une farce ?) dans l'Histoire française avec sa Loi sur le Travail et une troisième marocaine, la Azoulay, d'origine juive mais dont la famille s'est convertie à l'islam, léchage de babouches oblige quand son père est Conseiller du Roi marocain, et prétend "cultiver" les Français.
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